AGNES BELLADONE de Jean-Paul Alègre

La grande comédienne Agnès Belladone est au faîte de sa gloire.

Tous les soirs, dans sa loge, après les derniers rappels, elle règne sur une cour d’admirateurs : Pierre-Paul, son agent, Philippe, un journaliste, Gisèle, sa fidèle habilleuse, et Igor, son partenaire sur scène et dans la vie.

Une jeune comédienne, Anne, qu’Agnès présente comme sa protégée et qui commence à connaître le succès, va perturber un équilibre qui paraissait pourtant immuable.

Avec :

Betty LIGNEREUX Agnès BELLADONE

Martine DIET Anne LAUREL, jeune comédienne

Claude BEDOS Igor BEAUSOLEIL, partenaire d’Agnès

Michel MIFSUD Pierre-Paul BRUN, agent et producteur

Philippe GUY Philippe MANSONNIER, journaliste

Sylvie FRICERO Gisèle, l’habilleuse

                            

L’Auteur :

Jean-Paul Alègre, président du Centre des bords de Marne, scène conventionnée, a présidé les Ecrivains associés du théâtre de 2006 à 2011. Il a été élu en 2012 à la présidence de la commission théâtre de la SACD et à celle de la fondation Paul Milliet, reconnue d’utilité publique. Il est l’un des auteurs le plus joués en France. Ses pièces sont représentées dans quarante pays et traduites dans vingt-cinq langues. Son théâtre fait l’objet de nombreuses études universitaires et ses textes sont fréquemment repris dans des manuels scolaires et des anthologies. En 2003, il a obtenu le prix des Journées de Lyon des auteurs de théâtre pour Lettres croisées et l’Académie française lui a décerné l’année d’après le prix Emile Augier pour Agnès Belladone. En 2007, il a été fait chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres. Le 14 février 2014, Jean-Paul Alègre a inauguré un établissement public qui porte son nom, de son vivant – fait assez rare pour être souligné. En effet, la ville d’Angles (Vendée) a rénové son théâtre municipal et a choisi de lui donner le nom de l’auteur dramatique.

Dans son Anthologie des auteurs dramatiques de langue française de 1950 à 2000, Michel Azama dit de lui : « Son optimisme, sa passion pour autrui et son amour du clown et du théâtre se retrouvent dans ses textes qui ne désespèrent jamais du rude combat des hommes. »